Garde de la ville

Dans les années 1830, la frontière américaine s’étend vers l’Ouest avec la fin des guerres indiennes dans l’Est des États-Unis. De nombreux États ont laissé leurs milices non organisées disparaître au profit d’unités de milices volontaires qui, pour se différencier des milices non organisées, s’appelaient souvent des gardes municipaux ou des gardes nationaux. Ces sociétés remplissaient des fonctions telles que l’assistance aux forces de l’ordre locales, la fourniture de troupes pour les cérémonies et les défilés ou le rôle de club social bienveillant. Les groupes de la taille de l’entreprise étaient généralement en uniforme et armés eux-mêmes, tout en érigeant des armureries grâce à leurs propres contributions. Les unités de volontaires de taille suffisante pouvaient élire leurs propres officiers et demander une charte d’État sous les noms qu’elles choisissaient elles-mêmes.

Exemples d’entreprisesmodifier

  • Boston City Guard
  • Cambridge City Guard
  • Chicago Light Guard
  • Detroit Light Guard
  • Hannibal Guards
  • Montgomery Guards
  • Richardson Light Guard
  • Salem Light Guard
  • Swatara Guards
  • Gardes Wallace
  • Garde Wamesit
  • Garde de la ville de Worcester

Avec l’unification des lois et la centralisation du pouvoir de l’État (par ex. la loi sur la police municipale de 1844 à New York, aux États-Unis), de telles formations sont de plus en plus intégrées aux forces de police d’État.

La Loi sur les milices de 1903 stipulait que toutes les compagnies de milices organisées devaient être incorporées dans la Garde Nationale de l’Armée ou les Milices Navales, certaines compagnies parvenant à rester en dehors de ces organisations < ref >p.

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